•  

    " Elle est entrée par hasard ,

      au sourire radiant du gagnant .

      Nouvelle vie dés maintenant .

     

    La chance donne du rayonnant .

     

    Rêves éveillés loin du dormant ,

    privilèges goutés en gourmand ,

    ce sort est un nouvel amant . "

    Jean BOSIO 05/2012

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  •  

    " Suffisante par sa beauté ,

      aux armes trop exacerbées ,

       petite madone avance cambrée,

       vers son futur aux rêves dorés.

     

     Le malin aux ondes intéressées ,

    flaire la proie à lui présentée.

    Sorties , luxe , carrousel éffréné ,

    auront raison de sa folle naiveté.

     

    Le ton du mentor a changé ,

    la terreur dans sa vie est entrée ,

    l'obligeant , sous les coups ,  à plier

    aux impératifs mercantiles du dépravé.

     

    L'enfer au quotidien lui est reservé ,

    elle passe ses répits en victime éplorée ,

    son corps dégradé est sans cesse souillé ,

     mortels passages liés aux plaisirs tarifés.

     

    Sa cavale forcenée , au bien être espéré ,

    en martyr confondu , c'est hélas installée,

    la laissant dégradée au suicide annoncé ,

     salut tragique au malheur fabriqué. "

      

    Jean BOSIO 05/2012

     

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  •  

    " Le bateau au moteur puissant ,

      cracha un sillon bouillonnant ,

      créant une vague au contour ondulant .

     

    La côte s'éloigna en un bref instant ,

    une onde chatoyante la remplaçant ,

    aux flashs actifs du soleil dardant .

     

    Il se sentait en tous points dominant ,

    prenant le dessus sur cet univers géant ,

    les secousses de plaisir en lui remontant.

     

    L'exclusive d'un instant  euphorisant ,

    limite d'une possession au tempo asexuant ,

    qui donne à la vie des moments exaltants .

     

    L'homme contemplait l'horizon en sifflant ,

    debout , au gouvernail se tenant ,

    prenant  la pause du seigneur triomphant . "

      

    Jean BOSIO 05/2012

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  •  

    " La petite plume évite l'encrier,

      elle ne veut plus être l'alibi des lettres.

     Attendant le vent , prête à déserter .

     Aux démons des mots , se soustraire .

     Elle vole vers nulle part , libre .

    Heureuse de revivre émancipée .

    Je me sens plume ..... !!

    Jean BOSIO 05/2012

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  •  

    " En étant trop souvent sur les nerfs ,

      la patience des autres tourne en guerre ,

     au plus haut niveau du conflit enfer .

    Pour finir par dire " à quoi ça sert "   ?

     

    Tu vois cette rive blanche de sérénité ,

     sirène , qui ne cesse de t'appeler .

    Jettes l' aigreur  et prends cette opportunité .

    Tu vaincras l'amertume liée aux   naufragés .

     

    Au calme instauré , l' existence rejaillira , éthérée et altière .

    Ton aura , aux yeux , aimée , ressuscitera en vertus particulières,

    au profit d'un bonheur en ondes très singuliéres.

    La plénitude triomphera de l'insoutenable galère.

     

    Prends toi aussi ta part du gâteau extase ,

    arrêtes  le désordre aux multiples phases ,

     honores la félicité au feu qui embrase.

    Hurles au zénith , la renaissance , de tes nouvelles bases . "

      

    Jean BOSIO 05/2012

     

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  •  

    " La parole , aux hommes , donnée .

      Communication en mots débités .

       Compréhension ,aux doutes installés ,

     pour vivre la communauté concertée.

    L'abandonnée lâchement aux ordres décrétés ,

    c'est sombrer au spectre de la médiocrité .

    Défendons là , en louanges décompléxées ,

    éprises de savoir et de liberté .

    Patrimoine transmis , le savoir parlé ,

    aux enfants héritiers d'un futur espéré !!! "

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  •  

    "  gelé aux mains et au coeur ,

       précipice du bonheur passé,

      il abhorre ce moment glacial ,

     n'accepte pas le triste sort

    ou en terre une vie s'en va .

     

    La mort insolente gagnante ,

    triomphe par la lourdeur du malheur.

    Une destin s'arrête , l'autre se poursuit ,

    laissant au temps à venir ,

    le droit ,  au souvenir , et à l'oubli aussi .

     

    Inutile de lutter contre les pleurs ,

    le chagrin affectif est une douleur

    qui sans cesse se reproduit ,

    pour encenser des morts aimés

     nous abandonnant pourtant !!."

    Jean BOSIO 04/2012

     

      ,

     

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  •   

    " Par la petite porte il est passé ,

      s'invitant sournoisement à la table dréssée .

     Plombant l'ambiance des joies survoltées ,

     laissant pavillon noir au cerveau s'installer.

     

    Pourquoi chercher ,c'est le malheur qui débarque ,

    faisant chaviré l'insouciance , en monarque .

    De sourires perdus , en mines patraques ,

    l'incrédulité , en ondes lourdes , attaque .

     

    La boule pesante en gorge s'installe ,

    l'angoisse , nouvelle souveraine , plus vassale,

    au pouvoir du moral , prend piédestal .

    L' insouciance tourne en tornade au vent rafale.

     

    Moralité: Aux fenêtres béantes du bonheur ,

     il faut se méfier  du courant d'air  de la petite porte

    arrière , qui laisse sournoisement entrer le malheur !!

     

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  •  

    Champagne,

    " Bouteille grand style aux gazouillis bulles d'or ,

     tradition du bonheur en bouchons explosés.

    La fête en trinquant aux instants magnifiques ,

    en coupes de cristal aux reflets chatoyants.

    Breuvage murmurant , couleurs de tes cheveux ,

    je veux t'en noyer  en fontaines haut perchées.

    Oh !! Champagne complice des doux moments ,

    ma reconnaisance est au niveau de ton délice !! 

      

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  •  

    " Insolence de la jeunesse aux excès trop délires .

     Candeur déguisée en inéxpérience délurée .

    Défonce du plaisir aux limites du normal..

     

    Rien ne peut altérer la folle chevauchée ,

    d'espiègles affranchis aux visages  d'angelots.

    La folie collective en letmotiv recherchée.

     

    Le bonheur collegial flatte l'extase égoiste ,

    de paradis artificiels en  joies " mode"  ludique.

    Impossible de résister au tourbillon magnifique.

     

    Les années vont passer ,  rhytme responsabilité ,

    atténuer la folie au servant de la vie ,

    mettant bas des adultes aux regards procureurs.

     

    Laissez l'ivresse à vos jeunes années,

    avant d'être saoulé au tempo des soucis,

    dans une onde de rides au front apparues. "

     

    Jean BOSIO 04/2012

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